Publié le 21/09/2019

NOUVELLE SAISON POUR NOS OBSERVATEURS.

Ce vendredi 06 septembre, les observateurs étaient réunis pour l’incontournable stage de perfectionnement de début de saison.

En préambule, notre Président Sauveur CUCURULO a tenu à remercier son équipe pour son dévouement, mais aussi pour annoncer qu’il ne se représentera pas lors de la prochaine mandature. Merci Président pour votre implication de toutes ces années pour lesquelles vous avez su mener notre district avec main de fer dans un gant de velours.

Les stagiaires, réunis autour du Président de la CDA, Jacques FECIL, accompagné de M. Frederic MARTIN, ont commencé par entendre de ces derniers les objectifs de ce stage.
L’important était de parcourir toutes les nouvelles circulaires concernant les multiples changements pour cette nouvelle saison.

Ils soulignaient qu’il fallait uniformiser les pratiques sur tout le territoire, mais aussi afin de restaurer la confiance et la transparence avec les arbitres. Ils insistaient sur le fait qu’il fallait suivre de manière plus assidu nos stagiaires arbitres. Pour cela, il a été décidé que lors des deux premières désignations, ils seraient observés par des observateurs expérimentés afin de transmettre des appréciations conseils.

Dans les détails, il a affirmé qu’il fallait s’adapter et évoluer. Et que par conséquent, il était nécessaire de moduler l’échelle de valeurs afin, que les observations soient plus cohérentes et surtout qu’elles puissent apporter des axes de travail à chacun des arbitres de notre district.

En concertation avec les acteurs présents, il a été redit et corrigé certains sujets relatifs aux notations afin, que celles-ci soient harmonieuses.

Les objectifs sont d’obtenir de la qualité chez nos arbitres et pour cela, il faut faire preuve de pédagogie et transmettre les bons axes de travail, la note est une terminaison, mais le plus important c’est bien les commentaires qui en ressortent.

Ce stage se termina avec un exercice en commun sur le thème « harmonisation des observations »

               par Patrick BANNIER